Le travail est un des sujets de réflexion qui est le plus abouti dans la démarche maçonnique ; de notre filiation compagnonnique nous avons hérité d'un principe essentiel : la recherche de la perfection !
Malheureusement, c'est plus facile à énoncer qu'à faire, d'autant plus que, si pour les compagnons, ce principe concernait la réalisation d'une oeuvre, les francs-maçons l'ont étendu à tout ce qui concerne le but d'une vie d'initié : le Grand Oeuvre !
Quoiqu'il en soit, réfléchir sur le travail tel qu'il est aujourd'hui et tel qu'il pourrait contribuer au bonheur des êtres humains fait partie de nos préoccupations.
Dans une vie d'être humain, en terme de temps passé, on peut constater trois activités qui occupent le plus d'espace-temps :
Le travail (en y incluant toutes les activités productives et non-productives): entre 6 à 12 heures par jour ;
Le sommeil : entre 5 à 8 heures par jour ;
La prise de nourriture (en y incluant la préparation) : entre 3 à 6 heures par jour.
La diminution du temps de travail correspond généralement soit à la maladie soit à la fin de vie ! C'est dire combien il est important pour un être conscient d'essayer de concilier l'obligation, la nécessité et l'épanouissement !
Vous trouverez dans cette page des articles concernant aussi bien la vie de tous les jours que le travail en loge maçonnique.
Le bonheur au travail, une philosophie contre-productive (contribution d'Aurélien qui professionnellement conseille les entreprises à améliorer "l'ambiance" au travail)
A l'heure où les travailleurs sont en quête de sens et les employeurs en quête de moyens de conserver leurs talents, le « bonheur au travail » semble dominer les discussions. S’il n’est pas rapidement remis en cause, ce paradigme risque hélas de faire beaucoup de dégâts.
Penchons-nous tout d’abord sur le vocable lui-même. Pour les philosophes, « le bonheur est un état durable de plénitude, de satisfaction ou de sérénité ». Le terme « travail », pour sa part, vient du bas latin tripalium : appareil formé de trois pieux, utilisé pour ferrer les animaux ou comme instrument de torture pour châtier les esclaves. Difficile, a priori, de concilier les deux termes. Le bonheur au travail serait-il donc un leurre ?
Bonheur et épanouissement
Même en mettant de côté le cliché archaïque du travail comme instrument de torture, le paradoxe reste entier. Par nature, peu d’entre nous accepteront d’emblée que l’entreprise ou l’institution publique constitue le lieu où chacun trouvera son bonheur, au sens de la définition. En revanche, chacun peut accepter qu’il soit tout à fait possible de trouver une source d’épanouissement dans le travail.
Cet épanouissement est le résultat des efforts menés par les travailleurs, les managers et les gestionnaires des Ressources Humaines. L'entreprise peut aider ses employés – mais seulement si ceux-ci le désirent eux-mêmes – à trouver dans leur quotidien cet épanouissement qui leur permettra de grandir, de montrer leurs capacités et de vivre leurs valeurs au sein de l'effort collectif. Cet épanouissement fera alors le bien de l’entreprise, de l'économie, et de la société au sens large.
L’illusion du bonheur
Le message véhiculé par les promoteurs du « bonheur au travail » est tout autre : pour ces derniers, l’employé peut – voire doit – trouver SON bonheur au travail. Poussés par ces commerciaux du bonheur clé sur porte, les entreprises organisent aujourd’hui des formations pour transformer les managers en Gentils Managers, sorte d’animateurs bienfaisants au service du bonheur des employés. Mais le rôle des managers est-il vraiment d’être « gentils » ? Par extension, l'entreprise a-t-elle pour vocation de rendre ses employés heureux?
Une entreprise doit vivre, progresser, investir. En ces temps d’automatisation et de main d’œuvre bon marché, investir dans l'humain est aujourd’hui indispensable pour permettre aux entreprises d’acquérir et de conserver un avantage compétitif. Mais pas n'importe comment. Peindre une 2CV en rouge n’en a jamais fait une Ferrari. Une couche de « bonheur au travail » ne remplacera jamais les valeurs et la culture d’une entreprise dynamique centrée à la fois sur ses objectifs et sur l’épanouissement de ses collaborateurs.
Dissonance à tous les étages
Par ailleurs, ce message de « bonheur au travail » risque de s’avérer davantage contre-productif que bénéfique. Voire destructeur. Qu’allons-nous dire au salarié auquel nous avons vendu l’idée que son entreprise est une entreprise cool, où il fait bon travailler et où les managers sont gentils, lorsqu’il apprendra, après s’être investi sans compter pendant des années, que son Happy Manager des ressources humaines a décidé de le licencier ?
Changer, mais dans le bon sens
L'attitude des entreprises doit changer. Le constat est clair. Elles doivent incarner des valeurs fortes, et leurs managers doivent vivre ces valeurs et les transcrire au quotidien dans leurs choix et dans leurs actes. L’humain doit aujourd’hui reprendre sa place au centre de l’organisation et évoluer en symbiose avec celle-ci. Mais attention! Contrairement à ce que d’aucuns essaient de nous faire croire, cool ne veut pas dire humain.
Et si on revalorisait le travail en loge bleue ?
Dans de nombreuses loges, l’essentiel des travaux se font au 1er degré ; le 2ème degré est surtout consacré aux augmentations de salaires et le 3ème degré aux élévations à la maîtrise.
Cet état de fait est regrettable car il prive les frères et sœurs d’un travail authentique et libre, dans la plénitude de leurs droits et devoirs.
La vacuité des travaux au 3ème degré a favorisé l’attrait pour les degrés dits « supérieurs » des rituels additionnels.
Ne pourrait-on pas concevoir un renversement des priorités pour donner un sens à la progressivité des degrés ?
Au premier degré, on pourrait se contenter de la première approche du symbolisme et de la spécificité de la méthodologie du travail maçonnique.
Au deuxième degré, serait abordé l’ensemble des connaissances nécessaires aux compagnon(ne)s pour appréhender le monde.
Au troisième degré, tout est possible et la liberté pourrait être réelle pour le choix des sujets traités dans la mesure où cela correspondrait à un travail personnel de recherche et de réflexions dans lequel le frère (ou la sœur) s’impliquerait totalement.
Au troisième degré, aucun sujet ne peut être exclu dans la mesure où il est traité selon la méthodologie maçonnique du respect mutuel et de la participation à la réalisation de notre idéal. L’objectif serait que les travaux des maitre(sse)s soient plus fréquents de façon que chacun(e) ait la possibilité de présenter une à deux planches par an.
Les questions administratives pouvant être laissées à la compétence du collège des officier(e)s, il n’y aurait aucun intérêt à vouloir les soumettre à l’ensemble de l’atelier ; si nécessaire, il sera toujours possible de prévoir des réunions de comité.
Pour réaliser cette valorisation du 3ème degré, plusieurs solutions sont possibles ; deux pourraient être à privilégier :
Soit débuter systématiquement les deux tenues mensuelles au 3ème degré avec une ouverture des travaux allégés , avec en 2ème temps en alternance une ouverture au 2ème degré ou au 1er degré ;
Soit réserver une tenue complète au 3ème degré et consacrer la 2ème tenue aux deux premiers degrés (en commençant par le 2ème et en finissant par le 1er degré).
Par ailleurs, la valorisation des travaux au 3ème degré pourrait s’accompagner d’un plus grand partage avec ceux d’autres loges afin de développer une réelle stimulation intellectuelle.
En revalorisant l’essence même de la progressivité dans l’apprentissage et dans le travail, nul doute que chacun(e) serait en mesure de juger de la crédibilité de l’investissement personnel des frères et des soeurs.
Tout est possible car la loge est libre !
Comment améliorer le travail en loge ?
Quelle que soit l’obédience, quelle que soit la loge, en dehors des motifs de satisfaction, il est fréquent d’entendre sur les parvis, dans les rencontres interpersonnelles familiales ou autres, des motifs d’insatisfaction ; certains sont mineurs, d’autres plus préoccupants :
Il (elle) parle trop en pensant au (à la) véné !
Il (elle) ne connaît pas son rituel ; il y a trop de cafouillages, ça fait désordre !
Cette musique, c’est bien pour les ambiances musicales du club med, mais pas pour une tenue !
Cette planche, c’est du copier-coller wikipedia, qu’est-ce que ça nous apporte ?
On entendait rien, encore une sono qui marche pas !
Toutes ces interventions, c’étaient du pinaillage !
On était à la messe, est-ce qu’on est là pour çà ?
Venir en loge pour entendre de la politique, est-ce que çà a un sens ?
Il(elle) a encore fait son numéro ! A chaque fois, c’est pareil, il faut qu’il(elle) intervienne !
Il y a trop d’administratif, c’était vraiment ennuyeux !
Ce soir, c’était pas terrible !
Comme pour tout groupe humain, la qualité d’une rencontre est le fruit d’une « alchimie » subtile qui associe :
Un contenant : le cadre de la rencontre, la qualité du suivi du rituel pour une loge, le comportement des membres, les contraintes techniques auxquelles il faut s’adapter, les obligations que la loge doit gérer,
Et un contenu : la qualité des échanges, la cohérence avec les objectifs du groupe, les exigences de chacun(e).
Une tenue maçonnique a la particularité de fonctionner comme une pièce de théâtre : quand c’est parti, c’est parti, et c’est très difficile de rattraper une erreur de casting ou une partition inadaptée à la scène que l’on joue ; il y a des temps forts que l’on ne peut se permettre de louper ! Il faut une grande connaissance de la scénographie pour pouvoir reprendre la dramaturgie et remettre le groupe dans cette « communion » avec l’esprit de réflexion qui est recherché.
Comment y arriver ?
Proposer un ordre du jour bien pensé :
c’est un élément essentiel de la réussite d’une « belle » tenue ; bien souvent l’ordre du jour est bâti à la va vite pour répondre à des obligations ; il faut caser la planche de l’apprenti(e), la synthèse d’une commission, la lecture d’un rapport, un passage sous le bandeau, une initiation (ou une réception) ou une augmentation de salaire ou une élévation, une installation d’un collège, etc. Souvent, au dernier moment c’est le(la) vénérable qui doit décider, la plupart du temps seul(e).
Normalement, les ordres du jour doivent être établis en début d’année de travail (en septembre pour les loges de l’hémisphère Nord, en février pour les loges de l’hémisphère Sud) ; bien souvent, ils ne sont établis que pour un trimestre. Sachant qu’il y a habituellement deux tenues par mois, sur une période de 10 mois, cela fait 20 réunions par an ; bien souvent 1 à 3 réunions supplémentaires sont parfois ajoutées soit près de 23 réunions rituelles à planifier.
La responsabilité du collège des officier(e)s : c’est le premier travail d’un collège et sa réalisation signe le caractère collectif et contributif de son fonctionnement ; la logique voudrait qu’avant son installation, le collège élu se réunisse en session de travail pour préparer la gestion des ordres du jour sur les 10 mois à venir et trouver un consensus pour les instructions que devront suivre les officiers principaux en particulier le(a) vénérable et les surveillante(s).
La bonne gestion de l’ordre du jour doit respecter les règles du rituel suivi par la loge, les obligations administratives et celles issues de l’expérience de la gestion du groupe.
Bien gérer le temps de la réunion : une difficulté à surmonter par une bonne organisation ;
Une durée optimale : sachant que la plupart des tenues se déroulent le soir à partir de 19H30 – 20H, que de nombreux(ses) frères (sœurs) travaillent le lendemain matin, qu’à la tenue proprement dite, il faut ajouter au moins 1 heure pour les agapes et que l’attention et la concentration ne peuvent être soutenues que pour un espace temps limité, on voit bien qu’une réunion maçonnique doit s’achever au plus tard vers 22H-22H30 au risque d’entraîner des symptômes de lassitude ou de « décrochement » : par précaution, il faut donc bâtir un ordre du jour sur une durée de 2 heures !
Un rituel impeccable :
Chaque rituel a des particularités qu’il faut savoir respecter : cela suppose pour l’expert(e) et le (la) maitre(sse) des cérémonies une excellente maîtrise de la scénographie à réaliser en sachant qu’il leur revient à ce que tout l’atelier et donc les autres officiers se conforment à l’esprit du rituel ;
pour atteindre ce résultat, il est absolument nécessaire de faire des répétitions et d’avoir de la pédagogie pour faire comprendre aux uns et aux autres qu’ils (elles) doivent assumer le rôle dans lequel (ils) elles) sont ! Car le jeu en vaut la chandelle !
Pour une tenue ordinaire, on peut considérer que le rituel imposé s’impacte sur une durée de 30 à 45 mn ; pour des tenues ayant une installation de collège, une initiation ou un changement de grade, il faudra compter 60 à 90 mn ;
Eviter la lecture du rituel : un rituel s’apprend et se proclame ; ce n’est pas un effort incommensurable que de demander aux officier(e)s d’apprendre la partie du rituel qui leur est attribuée et de le proclamer en respectant l’esprit du texte !
Des obligations administratives raisonnables : c’est le chapitre le plus facile à gérer et qui pourtant créé le plus de polémiques surtout quand il s’agit d’une obédience prolixe en courriers, notifications, invitations, réunions régionales ou nationales, etc. De nombreuses loges ont su montrer qu’il était possible de maîtrise le temps qui leur était consacré , par exemple, en fixant une durée limite (15 mn serait largement suffisant) à ne pas dépasser .
Les outils de la modernité : Pour répondre à la nécessité de veiller à la bonne information de tous, rien de tel que le courrier électronique et le site extranet de l’obédience ;
sur cette méthodologie, saluons la qualité du site extranet de la glff qui fait un effort méritoire pour mettre à la disposition des sœurs des informations complètes sur les différents aspects du fonctionnement de cette obédience ;
cela suppose bien sûr que chacun(e) fasse l’effort de s’adapter à cette méthode de travail en prenant le temps nécessaire pour le travail préalable à la tenue proprement dite ;
de même, il est commode d’adresser par courrier électronique les documents nécessaires (rapport de synthèse, compte-rendu de tenues, questions à l’étude, rapport moral, etc.) à un vote avant la réunion afin qu’en tenue on n’ait pas à les relire !
Respecter les obligations nécessaires à une réunion réussie : ces obligations sont issues des connaissances recueillies par l’observation du fonctionnement des groupes humains :
Gérer les conflits internes : tout groupe humain recèle une potentialité de conflits interpersonnels ; en loge comme ailleurs, on ne peut ignorer la susceptibilité de chacun(e), les aprioris et le « choc » des personnalités ; c’est d’abord au frère (la sœur) hospitalier(e), aux surveillant(e)s et bien sûr au(à la) vénérable d’en prendre conscience et d’anticiper leurs règlements pour qu’ils ne polluent pas l’atmosphère de la tenue : une communication téléphonique, un entretien personnel, une écoute particulière peuvent le plus souvent suffire à les traiter ; il faut surtout éviter le déni et la banalisation.
Offrir des temps forts et émotifs : c’est peut-être le point qui mérite une attention particulière car il est une grande source de satisfaction ; chaque tenue doit avoir au moins un ou deux temps forts où l’émotion pourra se répandre parmi l’assistance : en loge, le rituel en lui-même y pourvoit généralement mais un climat propice permet aussi l’expression de ces émotions qui permet à un frère ou à une sœur d’exprimer un sentiment personnel particulièrement touchant ! La tradition maçonnique possède un moyen simple de réaliser un temps fort dans chaque tenue ou au moins pour quelques tenues par an ; Quel(le) loge n’a pas dans son effectif un(e) musicien(ne) ? La colonne d’harmonie devrait être occupée par un frère ou une sœur musicien(ne) : une flûte, un violon, un saxo, une harpe, un harmonica ou un accordéon suffisent pour offrir un moment de méditation et d’élévation !
Anticiper des moments de « détente » : si on demande des temps de réflexion et de forte concentration, on sait qu’inévitablement il y aura des moments de relâchement : des rires, des assoupissements, des attitudes se rencontrent fréquemment ; dans certains ateliers, on n’hésite pas à créer une rupture en suspendant les travaux pour un temps limité ou à utiliser la colonne d’harmonie pour intégrer dans l’ordre du jour un espace temps de « récupération » ; la technique la plus simple c’est d’abord d’éviter des longueurs !
Fortifier le « dynamisme » du groupe : tout groupe se forme et se réunit sur quelques objectifs primordiaux ; il est très important de rappeler au début ou à la fin des travaux en quoi la réunion du jour s’intègre dans le suivi des objectifs de la loge et donc de sa cohésion.
Les agapes : une partie importante du timing !
Le temps des agapes est traditionnellement un temps « fort » d’une tenue : moment d’échanges libres, de connaissance de l’autre, de détente et de convivialité ; parfois malheureusement, les agapes sont vécues comme une contrainte de temps, un espace réservé pour certain(e)s, une obligation de manger et de boire n’importe quoi, sans parler d’une obligation financière supplémentaire de sorte que l’absentéisme est fréquent.
Les apprenti(e)s ne comprennent pas toujours une obligation de service qu’ils(elles) peuvent voir comme vexatoire !
La liberté de parole peut parfois donner lieu à l’expression d’une vulgarité choquante : c’est le fameux défoulement des 3èmes mi-temps avec les comportements « matcho » qui ont du mal à respecter la mixité ! Le visiteur est parfois étonné de voir des frères portant costume noir, nœud papillon et chapeau tricorne, se transformer en habitués de bistrot, sexistes et triviaux !
Plusieurs objectifs peuvent être fixés aux agapes ;
Faire le plein de l’effectif de la loge : c’est un bon critère de leur attractivité
Veiller à une nourriture simple et de qualité diététique ; si la loge est un espace de promotion de la perfection, pourquoi offrir encore de la « charcut » , des plats hypergras de traiteurs, des frites et des pâtisseries de « carrefour », alors que l’on peut facilement proposer une nourriture frugale mais saine ?
Respecter les règles du bien manger : comment expliquer que des pères et des mères de bonne famille se satisfassent de manger avec des couverts dépareillés dans une vaisselle ébréchée sur une toile cirée plus ou moins déchirée ? Serait-ce mal venu que de mettre un peu de beauté dans ce temps du partage ?
Pratiquer le partage des tâches : même s’il est d’usage que le frère (la sœur) maitre(sse) des banquets se fasse aider pour la préparation et le service par les frères (sœurs) apprenti(e)s, la pratique du partage des tâches par tous les membres de la loge a une valeur pédagogique qui devrait être plus promotionnée ;
Faire régner une bonne humeur de qualité : cela suppose de prendre en compte l’animation des agapes : lecture de poème, chanson, humour peuvent donner un contenu complémentaire qui fortifie notre cohésion !
Au total, tout est possible et simple pour faire en sorte que les tenues et autres réunions maçonniques soient exemplaires ; il suffit d’accepter d’y réfléchir, d’en parler et de proposer des petites modifications qui bien qu’anodines peuvent avoir de grands effets !
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